
Adoration du Très Saint Sacrement
Hors vacances scolaires
Du mardi au vendredi :
de 17 heures 30 à 19 heures (confessions)
le samedi de 10 heures à 12 heures.
Du mardi au vendredi :
de 17 heures 30 à 19 heures (confessions)
le samedi de 10 heures à 12 heures.
Comment Jésus priait-il ?
Selon son cœur d’homme, Jésus a appris à prier de sa mère et de la tradition juive. Mais sa prière jaillit d’une source plus secrète parce qu’il est le Fils éternel de Dieu qui, dans sa sainte humilité, adresse à son Père la prière filiale parfaite.
L’Evangile montre souvent Jésus en prière. Nous le voyons retiré dans la solitude, même la nuit. Il prie avant les moments décisifs de sa mission ou de celle des apôtres. De fait, toute sa vie est prière parce qu’il est en constante communion d’amour avec son Père.
Pendant l’agonie au jardin de Gethsémani, ainsi que par les dernières paroles sur la croix, la prière de Jésus révèle la profondeur de sa prière filiale. Jésus porte à son achèvement le dessein d’amour du Père et prend sur lui toutes les angoisses de l’humanité, toutes les demandes et les intercessions de l’histoire du salut. Il les présente au Père qui les accueille et les exauce au-delà de toute espérance, en le ressuscitant des morts.
Jésus nous enseigne à prier non seulement avec la prière du Notre Père, mais aussi quand il est en prière. De cette manière, en plus du contenu de cette prière, il nous enseigne les dispositions requises pour une prière vraie : la pureté du cœur qui cherche le Royaume et qui pardonne à ses ennemis, la confiance audacieuse et filiale qui va au-delà de ce que nous ressentons et comprenons, la vigilance qui protège le disciple de la tentation. C’est la prière au Nom de Jésus, notre Médiateur auprès du Père.
Catéchisme de l’Eglise catholique, 541-544
L’Evangile montre souvent Jésus en prière. Nous le voyons retiré dans la solitude, même la nuit. Il prie avant les moments décisifs de sa mission ou de celle des apôtres. De fait, toute sa vie est prière parce qu’il est en constante communion d’amour avec son Père.
Pendant l’agonie au jardin de Gethsémani, ainsi que par les dernières paroles sur la croix, la prière de Jésus révèle la profondeur de sa prière filiale. Jésus porte à son achèvement le dessein d’amour du Père et prend sur lui toutes les angoisses de l’humanité, toutes les demandes et les intercessions de l’histoire du salut. Il les présente au Père qui les accueille et les exauce au-delà de toute espérance, en le ressuscitant des morts.
Jésus nous enseigne à prier non seulement avec la prière du Notre Père, mais aussi quand il est en prière. De cette manière, en plus du contenu de cette prière, il nous enseigne les dispositions requises pour une prière vraie : la pureté du cœur qui cherche le Royaume et qui pardonne à ses ennemis, la confiance audacieuse et filiale qui va au-delà de ce que nous ressentons et comprenons, la vigilance qui protège le disciple de la tentation. C’est la prière au Nom de Jésus, notre Médiateur auprès du Père.
Catéchisme de l’Eglise catholique, 541-544

Méditation :
“Vous donc, priez ainsi :
Notre Père qui êtes dans les cieux, que votre Nom soit sanctifié, que votre Règne vienne, que votre Volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien. Remettez-nous nos dettes comme nous-mêmes avons remis à nos débiteurs. Et ne nous soumettez pas à la tentation ; mais ne laissez pas entrer en nous le Mauvais.
Oui, si vous remettez aux hommes leurs manquements, votre Père céleste vous remettra aussi.”
Notre Père qui êtes dans les cieux, que votre Nom soit sanctifié, que votre Règne vienne, que votre Volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien. Remettez-nous nos dettes comme nous-mêmes avons remis à nos débiteurs. Et ne nous soumettez pas à la tentation ; mais ne laissez pas entrer en nous le Mauvais.
Oui, si vous remettez aux hommes leurs manquements, votre Père céleste vous remettra aussi.”
Mathieu 6, 9-14